mercredi 30 janvier 2013

La jungle au bout des doigts

Au jour de l'An, j'ai invité des amies qui connaissent bien mes goûts en matière de vernis à ongles, j'ai donc reçu en cadeau le maaaagnifique "Germanie-Cure" de O.P.I. ! 

GC est un superbe burgundy-chocolat-noir-reflets-roux-ambrés-mordorés, voilà en gros. Oui parce qu'il est difficile à décrire, il est très changeant selon la lumière, c'est une couleur absolument réconfortante en plein hiver, il réchauffe par ses reflets profonds et châtoyants. Pour élever encore le degré de température, j'ai eu l'idée de l'associer avec un motif "jungle", et comme ces mêmes amies me connaissent vraiment très très bien, elles m'avaient offert l'an passé des stickers d'ongles "léopard'.(Sephora).

Voilà donc ce que donne l'association des deux :


Autant vous dire que ce duo là, je l'aiiiiiime ! 
De plus, GC a les mêmes reflets que mes cheveux dans le soleil (auburn), si c'est pas du raccord terrible ça hein ? De quoi rugir de plaisir !

(2 couches "Germanie-Cure" OPI + 1 couche "Mavadry"/Mavala + Sticker ongles Sephora)

Pam Baileys

lundi 28 janvier 2013

Le Lys de Florence de Sarah Frydman


Voici donc le tome 2 de la "Saga des Medicis" de Sarah Frydman.

Florence, 1434. Cosimo de Medicis, grâce à l'influence de son ami le Pape, revient d'exil. Sa peine initiale de 10 ans largement diminuée, il n'aura été banni qu'une année.  Pour son retour, il donne de somptueuses fêtes en la cité florentine qui l'accueille dans la liesse. Désormais lavé de toute salissure, Cosimo n'a de cesse de se venger de ses ennemis (ce qu'il fera en les bannissant à leur tour, ou pire, en les faisant assassiner), en même temps que d'accroître sa puissance et sa fortune, déjà immenses.

Richissime, vénéré du peuple florentin, ce redoutable marchand et fin politicien règne sur la cité, et étend bientôt encore plus largement son pouvoir par le jeu d'alliances internationales. Cosimo est l'homme avec lequel  tous doivent compter : il décide des mariages, nomme les papes, traite avec les plus grands, avance ses pions sur l'échiquier du pouvoir et règne en maître absolu sur la destinée des hommes et des femmes de Florence.

Pour asseoir davantage sa fortune et sa puissance, il forge pour ses propres enfants des destins tracés de sa main implacable : ainsi décide-t-il seul des alliances opportunes entre ses fils, ses filles et la progéniture d'hommes influents. Son fils aîné, Piero,  jeune homme souffreteux et au physique ingrat, est sommé d'épouser la jeune et belle Lucrezia Tornabuoni, dont il est secrètement amoureux depuis des années. Mais hélas la belle florentine n'a d'yeux que pour le comte Vernio de Bardi, veuf, désargenté, coureur de jupons épris de liberté.

Cosimo de Medicis tisse sa toile, dispose le monde à sa guise. Marchand aux idées libérales, il a également à coeur le mieux-être du peuple et poursuit son rôle de mécène en faisant bâtir à Florence la plus grande bibliothèque d'Occident, dont il confie la décoration des plafonds à un jeune prêtre et peintre au talent prometteur : Fra Angelico. Il s'intéresse également  à cet homme de Mayence, Gutenberg, qu'on dit l'inventeur d'un nouveau procédé de copie des livres : l'imprimerie.

Tout réussi donc, en apparence, au Maître de Florence. Ses enfants sont mariés, sa fortune ne cesse de croître, il réalise tous ses rêves sous l'oeil bienveillant du peuple.

Mais ce vernis de bonheur absolu se craquelle bientôt : son aîné, Piero, est un homme cocu, la risée de tout Florence, un être malheureux, rejeté par sa jeune épouse, Lucrezia, qui n'hésite pas à braver l'opprobre en rejoignant aussi souvent qu'elle le peut son amant Vernio de Bardi. 

Dans des contrées lointaines, c'est Constantinople qui vascille sous le joug de Mohammed II et l'éventualité d'une nouvelle croisade fait jour. Rapidement, les hommes les plus éminents de Florence partent en délégation dans la ville turque pour tenter de négocier un traité de paix. La flotte chrétienne est accueillie sur les rives du Bosphore par l'empereur Constantin, à la tête d'une bien maigre armée face à celle, bien plus nombreuse et mieux organisée, celle de Mohammed II. Le combat est aussi inévitable que d'une extrême barbarie. En 10 jours, ce sont nombre de frères, pères, maris florentins qui tombent. La délégation florentine rentre en sa cité meurtrie et mutilée, ayant échoué dans ses négociations.

Sur ce second tome souffle un vent plus romanesque : nous suivons les amours malheureuses et les mariages forcés des jeunes aristocrates florentins qui ne sont que les jouets de leurs pères avides de pouvoir et de gloire, une jeunesse sacrifiée sur l'autel du commerce et des alliances fructueuses. Seule la jeune Lucrezia, au tempérament rebelle, saura se moquer du qu'en-dira-t-on et vivra sa vie d'amante, quoi qu'il lui en coûtera.

En ces temps troublés par les combats turcs, Florence vascille sous mille vicissitudes mais ne plie pas, tenue par une main de fer par l'homme le plus puissant de la cité : Cosimo de Medicis.

Un second tome entre luttes de coeur et de pouvoir, deuils, meurtres, naissances, trahisons, amours secrètes, alliances fécondes, tous les éléments sont ici réunis pour imprimer à cette grande fresque florentine un rythme soutenu et captivant.

(Le Lys de Florence - La Saga des Medicis, tome 2 - par Sarah Frydman -éd. Albin Michel (et livre de Poche) - 282 pages - 1995).

Pam Baileys

vendredi 25 janvier 2013

Eau Sensuelle Dior Addict

Oh la la, je prends la place de Pam sur le rayon "parfum" ! à mes risques et périls !
Cela faisait un moment que je voulais vous parler de cette eau de toilette, achetée sur un coup de tête / coup de coeur pendant les courses de Noël : Eau Sensuelle de Dior


J'errais dans les rayons d'un grand magasin de parfum et mon regard se porte sur cet emballage et sur un petit flacon de 20 ml. Je teste et j'adore. Bon, facile Dior j'adore.
Cela fait des années que je porte Dolce Vita et je ne m'en lasse pas.
Parfois je cherche une nouvelle eau de toilette, mais rien ne reste très longtemps, alors j'ai décidé de garder mon Dolce Vita et d'alterner avec des eaux de cologne.
Mais cette Eau Sensuelle m'a fait de l'oeil (ou du nez) et je n'ai pas résisté.
Enfin si je n'avais pas eu 40% sur le prix, j'aurais résisté, parce que 94€ les 100 ml, vraiment Dior t'exagère !
Mais comme j'ai pris 20ml, avec la réduc, c'était un cadeau bien sympa pour 20€ (1€ le ml quand même ...) !
Alors, cette eau de toilette ?

mercredi 23 janvier 2013

Doux argent

Je poursuis mes duos avec ce combo assez doux, le n° 319 de Kiko et "Mirror mirror" de Sephora.


Le n°319 est un taupe texture crème, vraiment très très chiant à poser ! Une horreur, il fait des stries, dépose du vernis d'un côté de l'ongle et pas de l'autre, une vraie tannée ! La qualité des vào Kiko est pourtant toujours excellente, mais dans la gamme des crèmes clairs, j'ai l'impression que c'est un peu loupé.

Bref. Je l'ai posé sur 9 ongles et "Mirror Mirror" sur le dixième.


Sur la photo le Kiko paraît un chouïa plus foncé qu'il n'est en réalité.

Mouais, je ne suis pas super excitée par ce duo en fait, trop pâle à mon goût, moi qui aime les vrais rouges qui pètent. C'est le combo parfait je dirais pour rester le dimanche après midi chez soi, à cocoonner en grand pull gris, mais pas en d'autres occasions.

(2 couches "n°319"/Kiko et "Mirror Mirror"/Sephora + 1 couche "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys

lundi 21 janvier 2013

My little box : deuxième !

Vous vous souvenez, à Noël je vous avais parlé de My Little Box et de leur Charity Box, et je m'étais abonnée pour tester quelques mois de surprises à recevoir. Et voilà, début janvier, juste quand je reprenais le chemin du boulot, non sans difficultés, hop une boîte surprise ! ça fait plaisir !
 
Alors, quel avis sur cette deuxième box ??
Tout d'abord je vous montre la box et les surprises ...
 
Toujours une aussi jolie présentation,
avec un mot caché sous le couvercle de la boîte d'emballage :
rose et blanc, tout doux pour 2013
 

vendredi 18 janvier 2013

Le château de Cheverny

En route pour le Val de Loire, avec Karl et Rudolf, nous avons bifurqué vers Cheverny.
La dernière visite remontait à une dizaine d'années, et je dois dire que j'ai redécouvert ce magnifique château avec plaisir et surprise.


Cheverny est situé en Sologne, non loin de Chambord, à 2 heures de Paris.
Le château, d'architecture classique est entouré d'un grand parc accessible aux visiteurs. Et cela ne vous aura pas échappé, Cheverny a servi de mdèle à Hergé pour dessiner le Château de Moulinsart, demeure du capitaine Haddock. Hergé a juste enlevé les 2 ailes latérales pour plus de simplicité.

 

Revenons à Cheverny. Le château appartient à la même famille depuis 6 siècles et il est magnifiquement entretenu. L'espace de la visite, je me suis crue en Angleterre, dans ces beaux châteaux où l'histoire et le commercial cohabite : gagner de l'argent avec les visites, les extras pour entretenir sa demeure. Et ça marche !

Depuis longtemps, Cheverny accueille des chasses à cour, des montgolfières, des mariages, banquets ... et maintenant une exposition Tintin.

A l'interieur du château, de très belles pièces, des plafonds magnifiques, un mobilier de qualité et une décoration très soignée.





On se sent tout de suite bien dans ce château, les pièces sont chaleureuses, il y a plein de choses à découvrir. La chambre "du roi" est décoré de fresques antiques dans laquelle une conférence de quelques heures ne serait pas inutile ! Les plafonds (en bois ou pierre) sont magnifiques, d'une grande finesse et remplis d'histoire(s).

En lui-même le château n'a pas d'intérêt historique incroyable mais il a ce charme qui manque souvent dans les châteaux de la Loire, pourtant si beaux.
J'ai travaillé quelques mois, il y a bien longtemps, au château de Blois, qui est absolument exceptionnel, architecturalement et historiquement. Cependant, géré par l'Etat, il possède moins d'âme qu'un château de famille ...

Enfin, à Cheverny, il y a une expo Tintin (monté en collaboration avec la fondation Hergé) qui est très sympa. Pas immense mais agréable et bien fichue.
Bon, Karl, Rudolf et moi on aime bien Tintin donc ça nous a plu.
Je mets 3 photos, pas plus, la fondation Hergé est très pointilleuse, je ne voudrais pas m'attirer des ennuis et embarquer Pam dans ma chute :-)


 
 
En résumé, Cheverny est un super endroit à ne pas manquer sur la route des châteaux de la Loire. En plus il y a un coin pique-nique pour la belle saison, des barques, une belle boutique de souvenirs et c'est ouvert 365 jours par an !
 
Après un passage à Chambord et Blois, ne râtez pas Cheverny !
Un vrai coup de coeur !
Kate Manzana
 
 
Le tout pour 9€ l'entrée château-jardin

mercredi 16 janvier 2013

BC-beigé

Le beige n'est pas ma couleur favorite, c'est une couleur qui ne va pas tellement à mon teint, elle l'éteint et l'affadit. Et puis c'est, à mon sens, une couleur un peu ennuyeuse. Une couleur "passe-partout" certes, très classique et qui va à peu près avec toute une garde-robe, mais voilà, il lui manque un petit peu de fantaisie, et c'est ce que j'ai cherché à faire avec ce duo "beige-doré".

J'avais ce flacon de vernis doré/métalisé depuis des lustres mais je l'avais totalement oublié, hop, le revoici sur le devant de la scène ! Il n'a pas de nom, il porte la référence 158, marque "Layla cosmetics", une marque italienne, inconnue au bataillon. J'ai déjà acheté des rouges à lèvres de cette marque (chez Cyra Lido): ils sont parfaits ! Alors, pourquoi les vernis ne le seraient-ils pas eux aussi. Le flacon est un tout petit peu "old age", assez 50's/60's, mais peu m'importe le flacon, moi ce qui m'intéresse, c'est ce qu'il contient : un vernis doré, intensément pigmenté, effet métal, un doré avec une pointe de rouge dedans qui donne un effet "patine antique", j'adore !

Le voici, accompagné de son copain beige :


Il s'agit de "Bare necessities"(n° 367) de Rimmel : un beige parfait : ni trop jaune ni trop rose, avec une très très légère nuance mauve selon la lumière. Pinceau "maxi brush" qui prend tout l'ongle en un passage, texture crème qui ne fait aucune strie, aucun paquet, et qui sèche vite. Nickel !

Et voici les deux compères une fois sur l'ongle :




Je trouve vraiment que ces deux-là ensemble fonctionnent à merveille ! Le doré vient encanaillé le beige sans pour autant lui voler la vedette. Un de mes combo les plus réussis de ces dernières semaines, et que je referai très sûrement.

(2 couches "Bare necessities"/Rimmel + 2 couches "n° 158"/Layla Cosmetics + 1 couche "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys




lundi 14 janvier 2013

Cold cream Avène : retour aux basiques

J'ai une chance folle avec ma peau, elle supporte sans broncher toutes les crèmes de jour/nuit, de toutes les marques, de Dior à Nivea, elle fait peu de différence, elle n'est absolument pas intolérante ni réactive, quoi que très fine. C'est là-dessus que je porte le plus d'attention : comme elle est fine, elle est très souvent en manque d'hydratation, et, l'hiver, avec le froid, en manque de nutrition.

Comme je n'aime pas avoir 36 pots ou tubes de crèmes, 1 seule me suffit pour le jour et la nuit. Seulement voilà, cette année, j'ai racheté ma crème hydratante en été et là, avec le froid et le vent, ma peau tiraille un peu, elle n'est pas confortable. Ma crème n'y suffit pas, j'ai besoin d'un soin plus costaud.

N'ayant pas envie de mettre 85 euros dans un nouveau pot, j'ai acheté le cold cream de chez Avène, parce que le cold cream, c'est ancêstral et ses preuves ne sont plus à faire. Et puis j'aime bien les produits Avène car ils ne sont pas parfumés.



Le mot "cold cream" (et la formule) ont étés inventés par Helena Rubinstein, pionnière dans la cosmétique. A l'époque, il était composé de lanoline (issu de la laine de mouton) pure. Ce n'est plus le cas aujourd'hui mais la formule du cold cream Avène (de l'eau thermale, de la parafine, de la cire d'abeille) très courte donc, est championne pour réhydrater et nourrir la peau (un soin d'ailleurs multi usages, le cold cream s'utilise aussi bien sur le visage que sur le corps, les mains, les ongles, les lèvres gercées).

Le tube n'est pas des plus glamour, comme à peu près 99 % des cosmétiques parapharmaceutiques, et surtout, je déplore un peu qu'il soit présenté en tube alu : certes, pas de gâchis, mais généralement les tubes alu résistent mal au temps, en milieu de course et à mesure qu'on le roule sur lui-même, les bords se coupent.

Sinon, côté hydratation/nutrition, ma peau adore et elle revit. Je n'applique cette crème que le soir, en couche super fine (la texture est trèèèèèèès compacte et grasse), après avoir appliqué une lotion florale sur mon visage, je chauffe une min-noisette de crème dans mes mains et je l'applique sur peau encore humide (ça glisse et pénètre mieux que sur peau sèche). On peut également s'en servir comme masque hydratant : une bonne couche sur le visage, 20 minutes après on enlève l'excédent avec un Kleenex, puis on masse bien son visage avec ce qu'il reste de produit sur la peau : effet peau de pêche garanti.

Au réveil, bonheur : ma peau est super bien hydratée, douce, souple, fraîche !

Voilà donc un petit bonheur en tube, et pas onéreux, ce qui est encore plus appréciable (j'ai payé mon tube 8,50 les 40 ml et il va me durer trèèèès longtemps vu la faible quantité que j'utilise chaque soir).

Comme quoi les recettes les plus simples sont souvent les plus efficaces !

Pam Baileys

vendredi 11 janvier 2013

Flakies Color Club

Enfin je les ai reçues !!!! Passer commande Outre-Manche en ces temps de fêtes de fin d'année, c'est s'attendre à .... attendre... longtemps... mais la récompense est là : mes flakies Color Club.

Mon choix s'est porté sur le n° 902 "Covered in diamonds", tout un programme ! J'avais vu quelques tuto sur le net avec celui-ci, et j'ai beaucoup aimé.

"Covered in diamonds" ce sont en fait des flakies holo : comme des tout petits bouts de papier d'alu, en version holo donc. Quand on bouge ses doigts, ça prend tout son sens, et surtout toutes ces couleurs ! C'est magnifique, on dirait des opales (dont je suis amoureuse aussi !).

Voilà en gros plan les petites bêtes, qui flottent à l'aise Blaise dans une base transparente :


Pour cette manucure, je voulais laisser la vedette aux flakies, j'ai donc opté pour une base très neutre, avec "Litchi" de Peggy Sage.


Jusque là, tout va bien. La base, les deux couches de "Litchi". C'est maintenant que ça se corse un peu (pas des masses non plus hein, faut pas avoir fait Mat'Sup' pour poser des flakies, je vous rassure) : en fait, il ne s'agit pas tout à fait d'un vernis, mais plutôt d'un gel (uuuuultra épais !!) qui retient les flakies... un gel qui les emprisonne mais qui les délivre très mal sur l'ongle ! J'ai d'abord essayé de le poser comme un vernis, en étirant le gel sur l'ongle : nada ! aucun résultat, rien sur l'ongle. Alors ensuite j'ai prélevé un peu de gel avec le bout du pinceau puis tapoté celui-ci pour couvrir l'ongle de flakies : succès ! Une couche de top-coat par-dessus tout ça et hop, voilà le résultat (uuuultra chiant à prendre en photo, le holo ça ne prend tout son éclat qu'en pleine lumière (naturelle si possible) 


Bon c'est vraiment pour vous donner une idée parce qu'en vrai, mes ongles brillent de mille flakies. L'inconvénient, c'est l'ongle au toucher : pas doux du tout, ni lisse : le gel fait une surcouche et les flakies ben... font des écailles quoi (vous me suivez les bilingues ? flakes ? écailles, flocons !).

J'aime beaucoup cependant et je ferai d'autres tests avec d'autres couleurs en sous-couche.


(2 couches "Litchi"/Peggy Sage + Flakies "Covered in Diamonds" - n°902/Color Club + 1 couche top-coat "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys

mercredi 9 janvier 2013

Contessina de Sarah Frydman


Contessina est le premier tome de la trilogie "La Saga des Medicis", roman historique de Sarah Frydman.

De cette illustre famille nous connaissons aujourd'hui la Villa, à Rome, lieu de résidenced es artistes du monde entier. Les Medicis furent de grands mécènes et protecteurs des arts. Mais comment est née et a grandi cette famille ? Voici, ici contée, avec faits historiques à l'appui, le destin des membres fondateurs de cette dynastie italienne.

Florence : 1414. La famille Medicis, avec, à sa tête, le patriarche Giovanni, jouit d'une immense fortune gagnée à la sueur de son labeur. Les Medicis ne sont pas "bien nés" et ne font pas partie de l'aristocratie florentine. Ce sont des marchands, qui bientôt font fortune de part leur métier d'usurier (le terme de "banquier" n'apparaîtra que plus tard).

Giovanni élève ses deux fils, Cosimo et Lorenzo, afin d'en faire des hommes droits, justes, respectueux, en même temps qu'il les sensibilise à l'art dont il est féru. Mais il leur lègue aussi le goût de l'argent, du pouvoir, l'appât du gain. Ainsi forge-t-il très tôt le caractère de son aîné et successeur en droite ligne, Cosimo. Le jeune homme est avide de pouvoir et de reconnaissance, mais il veut également faire de Florence la ville où les pauvres ne meurent pas de faim dans les rues, grâce à l'hôpital public qu'il souhaite construire pour eux. Il désire parallèlement faire de Florence la capitale des arts, dont la renommée et la puissance seraient reconnues dans le monde entier.

Face aux Medicis, la famille Bardi, aristocrates depuis plusieurs générations et ennemis jurés des Medicis : Adriana Bardi, jeune femme de tête, extrêmement séduisante, va tenter de se venger de la famille Medicis par le biais de sa jeune fille. En effet, Adriana était dans sa jeunesse fort éprise de Giovanni de Medicis, qu'elle n'a pu épouser puisque de trop haute condition pour ce marchand. Retorse et calculatrice, elle n'a de cesse de faire épouser Contessina, sa jeune fille de 14 ans, retirée de son couvent, avec Cosimo de Medicis. L'ainé des fils Medicis est fort laid, bien plus âgé que Contessina. Mais de cet hymen improbable naîtront 5 enfants et le couple sera solidement ancré dans l'amour et le respect mutuel. Grâce à ce mariage, Cosimo, qui vénère Contessina, assied sa puissance auprès des autorités florentines en même temps qu'il fait croître sa fortune par le biais de spéculations fructueuses, il devient bien vite respecté des notables, mais reste haï des artistocrates qui ne rêvent que de le faire tomber. Il est toutefois adulé par le peuple florentin pour lequel il oeuvre au mieux-être et avec l'appui duquel il peut compter.

Mais le vent tourne et bientôt souffle le vent de la disgrâce pour Cosimo et sa famille. Aveuglé par l'argent et le pouvoir, il décide de faire construire un palais à la démesure indécente... ce qui est passible de la peine de mort à Florence en cette époque, car nul n'est censé s'élever plus haut que son voisin. Jugé devant la Cour, Cosimo et les siens sont condamnés à 10 ans d'exil, et voient leur fortune colossale confisquée...

Roman foisonnant mêlant corruption, pouvoir, politique, amours secrètes, mariages arrangés, voici l'histoire des ces premiers Medicis qui au Moyen Age prennent le pouvoir absolu sur Florence et en contrôlent bientôt tous les aspects. Mais ce roman dépeint aussi la vie politique, sociale, artistique, industrielle des XIVe et XVe siècle, formant ainsi une fresque généreuse et éblouissante en même temps qu'un document précis sur cette incroyable famille et sa destinée.

A suivre....

(Contessina. La Saga des Medicis, tome 1, de Sarah Frydman, 288 p. Editions Albin Michel 1988 et Livre de Poche).

Pam Baileys

lundi 7 janvier 2013

Pépites et grenats

Je poursuis dans ma série "duos" et je m'essaie à quelques associations vernis crème/paillettes avec ce nouveau combo plutôt classique : rouge "Grenat" de Peggy Sage et mes fameuses paillettes "Confetti time" H&M. En fait il s'agirait ici plutôt d'un trio, car j'ai ajouté une couche de vernis doré (n°71/Debbie) en sous-couche pour l'ongle à pailleter, afin que l'on ne voit pas l'ongle en-dessous par transparence (sinon il m'aurait fallut 8 couches de paillettes pour tout bien texturiser donc j'ai triché un peu).

Voici donc les protagonistes en photo :


Et sur ongles :


Outre ma manucure totalement pourrie et le vernis "Grenat" très difficile photographier (ici il a l'air tout transparent alors qu'en fait il est bien pigmenté et bien couvrant), je trouve que cette association vernis/paillettes fonctionne mieux avec des vernis très clairs voire pastels. Bon, c'était un essai, mais que je ne pense pas reconduire.

(2 couches "Grenat"/Mavala + 2 couches "n°71"/Debbie sur 1 ongle + 1 couche top coat "Mavadry"/Mavala)

Pam Baileys

vendredi 4 janvier 2013

Le jus de radis noir

Eh oui eh oui, on sort des fêtes, on a abusé de foie gras/saumon fumé/dinde aux marrons/petits fours/bûche au chocolat/champagne/omelette norvégienne/escargots de bourgogne/pyrénéens/mon chéri/marie brizard (je continue ou vous avez déjà la nausée ?).

On se sent un peu lourd, un peu patraque, le teint brouillé : la faute à qui ? la faute au foie !!!
C'est qu'il a dû bosser comme un fou pour digérer toute cette mangeaille et que, comme en hiver il est paresseux, il a dû mal ces jours-ci à se remettre à bien fonctionner.

Mon remède infaillible, c'est la cure de jus de radis noir, pour aider ce foie un peu paresseux. J'en fais une cure (3 semaines) à chaque inter-saison, et si je ne me sens pas super bien après de gros repas, j'en prends 1 ampoule/jour au moment des fêtes de fin d'année.


Bon alors je vous préviens d'emblée : c'est archi dégueulasse à boire !!!!!!!! 
Et pourtant, je bois souvent des jus de légumes, mais là, c'est juste pas possible ! Surtout que pour augmenter son efficacité, je prends une ampoule dans un verre d'eau chaude. (oui c'est mon côté kamikaze qui se révèle).  En fait, j'y vais en apnée, une grande inspiration, je bloque, j'avale, j'expire, je beugle : argghhhh c'est immonde ce truc.

Et comme tout ce qui n'est pas bon : c'est rudement efficace !(ça me rappelle les sirops antitussifs que ma mère me donnait quand j'étais petite : "c'est pas booon", "oui, mais c'est efficace contre la toux"). Au bout de 3 semaines, le teint est parfait, la digestion se régule, le transit est nickel, on se sent toute "nettoyée" de l'intérieur, la tuyauterie remise à neuf quoi !

Allez, je vous assure que ça vaut vraiment le coup, un petit sacrifice pour un grand bénéfice !


Le jus de radis noir existe aussi en gélules, mais pour ma part je trouve ça vraiment beaucoup moins efficace.

Pam Baileys

mercredi 2 janvier 2013

Loving Franck

Commençons l'année par un bon livre !
En fait un livre que j'ai terminé le 31 décembre 2012, qui clôture ainsi une fin d'année placée sous le signe de la littérature, et j'en suis très heureuse.
Entre La vie rêvée d'Ernesto G. et Viviane Elisabeth Fauville, j'ai avalé La fiancée de Bombay conseillé par Pam, que je ne peux que vous conseiller à mon tour : un vrai tourbillon au rythme de l'Inde des années 30 ! prenant !
 
Aujourd'hui je vous emmène quelques années avant, entre 1909 et 1914, au coeur d'une histoire entre une femme, libre et féministe (même si je n'aime pas trop ce mot) et un homme, célèbre et passionné.
Il s'agit de Mamah Borthwick Cheney et Frank Lloyd Wright et de Loving Franck de Nancy Horan, ed. Buchet Chastel (aussi en Livre de Poche)