samedi 24 décembre 2011

Joyeux Noël !

Nous y voilà ! 24 décembre 16h ... Rudolf est très très impatient ...
Alors pour passer le temps nous avons confectionné des biscuits pour le Père Noël : des biscuits au caramel et noix de cajou.


On a dû en goûter un, histoire de vérifier si le Père Noël allait aimer ... et un deuxième aussi pour vérifier. Verdict : absolutly delicious !!

La recette mega-hyper facile pour environ 18 biscuits :
- 115 grs de farine
- 80 grs de beurre
- 1 oeuf
- 50 grs de sucre blanc
- 60 grs de sucre roux
- 1/4 cc gros sel
- 1/2 cc extrait de vanille
- 70g de noix de cajou salées (celles pour l'apéro)

pour le top :
- 8 caramels moux
- 2 cl de crème fleurette liquide

1 - Préchauffer le four à 180°C
2 - Concasser les noix de cajou grossièrement (dans un torchon les écrase avec un rouleau à pâtisserie)
3 - Mélanger les sucres et le beurre puis ajouter l'oeuf puis la vanille puis la farine et le gros sel et enfin les noix de cajou concassées
4 - Faire des petits tas de pâte sur une feuille de cuisson posée sur la plaque du four. Bien les espacer (j'en fais 9 sur une plaque)
5 - Faire cuire entre 12 et 15 mns (ça dépend de votre four)
6 - Sortir les biscuits et les faire refroidir
7 - Préparer le "top au caramel" : faire fondre le caramel et la crème, laisser un peu refroidir et décorer vos biscuits.

Bon appétit !

Et surtout ✰✰✰JOYEUX NOEL A TOUTES ET A TOUS ♥♥♥

Kate Manzana

jeudi 22 décembre 2011

Les belles bougies


J'adore les bougies. J'en ai toujours plusieurs à la maison, que je dissémine et allume au gré de mes envies, pour créer de belles lumières et de doux effluves. 

Mes bougies préférées sont les bougies Diptyque : "Bois Ciré", "Baies", "Feu de Bois", "Figuier", "Jacinthe", font partie de mes favorites, ainsi que "Essence", celle créée par John Galliano (mouais bon, j'aime l'odeur de cette bougie, achetée bien avant "Ze" affaire Galliano.... j'y peux rien !).

J'aime aussi la bougie "Harcourt", (vendue exclusivement au Studio Harcourt) aux effluves de bois ciré, musc, benjoin, cuir, elle est très "ambiance Art-déco" (ça tombe bien).

Et les bougies Trudon-qui-coûtent-un-bras aussi.

Mais je suis toujours à la recherche d'autres senteurs, d'autres jolies verrines, à des prix sympa bien sûr.

Et vous, quelles sont vos bougies préférées ? Vos idées sont les bienvenues !


Pam Baileys

lundi 19 décembre 2011

Nos ancêtres nos Gaulois

Premier jour de vacances bien occupé avec l'expo sur "les gaulois" à la Cité des Sciences.


Bon, Rudolf a râlé pour la forme ..."ça m'intéresse pas", "j'veux pas y aller" ... pour finalement bien s'amuser et ne plus vouloir partir.

L'exposition est très bien conçue, descriptive, interactive, scientifique, artistique et parfois humoristique.
Tout d'abord, on se plonge dans les lieux communs, les idées reçues, les représentations habituelles (le blond à moustache un peu rustre) et l'utilisation de l'image.




Puis on entre dans le sérieux, le scientifique ...
Pour aborder la vie des gaulois, on l'aborde via l'archéologie, les bornes interactives, les jeux (refaire une poterie, creuser ...). On apprend plein de choses sur le mode de vie sédentaire, les cultures, les animaux domestiques, l'habitat ...

Arrivent les objets d'art, les statuettes, les pièces, les chaudrons ... et une représentation en maquette animée d'un temple et d'une cérémonie religieuse, très poétique et instructive.

Et on termine par un film assez drôle et pourtant pédagogique.

Une expo enrichissante, instructive et très fraîche qui ne vous fera plus dire que nos ancêtres les gaulois étaient des rustres moustachus.

Kate Manzana

Pour en savoir plus :
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/gaulois/visite-exposition-Gaulois/presentation-exposition.php

vendredi 16 décembre 2011

Bouton d'or et Mimosa

Cet été, j'ai craqué pour le vernis "Mimosa" de Chanel, ou disons plutôt sur cette couleur très "bouton d'or", un jaune légèrement métallisé, d'une couleur qui n'a pas froid aux yeux, et qui me faisait comme 10 petits soleils au bout des doigts (et vu que cet été, le soleil a très moyennement brillé, c'était un bon ersatz !).

Mais voilà, vous savez que les vernis Chanel et moi, c'est pas le grand amour : trop chers, pas de bonne qualité, qui s'étalent super mal, bref, il me fallait trouver son dupe, grande mission estivale !

Et que j'ai relevé avec succès,  et en toute modestie (je ne suis pas peu fière, sur ce coup-là, j'avoue) avec "Yellow Submarine - n°20" de Deborah (collection Prêt à porter en petit format 4,5 ml).

Et comme rien n'est plus parlant qu'un comparatif en images, voici les 2 concurrents :



Et voilàààà ! En haut : le Mimosa à 22 euros, et en-dessous, le Bouton d'or (Yellow submarine) à 5,95 euros (et en prime mes cuticules toutes pourrites !).

Et maintenant, votre verdict ?
(2 couches "Yellow Submarine"/Deborah (collection Prêt à Porter) + 1 couche "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys

mercredi 14 décembre 2011

Osez Joséphine ....

Bon, ben voilà, je l'ai lu le livre que tout le monde a lu !
J'ai eu du mal à commencer, c'est un peu mon côté rebelle, j'aime pas être dans le coeur du mouvement, je préfère être en avance ou carrément très en retard. En décalé. Mais dans le bain de foule, non.
Bon, j'ai quand même avancé dans les pages ... et je n'ai plus lâché l'histoire de Lucile et de sa famille.


Elle est belle sur cette photo Lucile. Belle comme ces femmes qui savent se rendre mystérieuses. Inaccessibles.

Delphine de Vigan nous raconte la vie de sa mère. Et donc la sienne et celle de sa famille.
Cela commence par l'enfance dans les années 40/50 dans une famille nombreuse (9 enfants !) avec son lot de joies et de malheurs. Et puis Lucile grandit, fait des enfants et vit avec sa maladie : elle est maniaco dépressive.

Il y a des passages très durs, très émouvants, très bouleversants.
Et pourtant Delphine de Vigan a une finesse d'écriture qui nous entraîne dans les méandres familiaux sans jamais nous faire sombrer. C'est sans jugement, avec un amour profond qu'elle raconte sa famille et cette mère si fragile et si forte.

Un livre subtil et lumineux, qui décrit une famille particulière, et qui pose les questions du lien, de la transmission, de la folie, de l'amour, de la liberté.
Car Lucile revendique sa liberté, et enfermée dans la maladie, elle parvient à rester libre jusqu'à la fin.

Etre une personne libre est certainement notre défi le plus difficile à relever dans la vie, et je suis heureuse d'avoir partager 439 pages avec une femme libre.

Kate Manzana

lundi 12 décembre 2011

Le vernis avec du glitter dedans

C'est bientôt les fêtes de fin d'années ! Je songe déjà à mes habits de lumière pour l'occasion. Et au vernis idoine, bien sûr. Et pourquoi pas un joli vernis pailleté qui en jette ?

"Tulipe Glitter" de Peggy Sage est mon dernier gros coup de coeur, et pourtant, je n'aime pas franchement la paillette ! Mais celui-là, waow, mazette il glitterise ! Un coulis de framboise constellé de paillettes multicolores. Pour les fêtes, à part le vernis doré, je ne vois pas mieux.



Le seul hic, comme tous les vernis fortement pailletés, c'est le démaquillage de l'ongle ! Prévoir 1 litre de dissolvant, 1 paquet de coton et beaucoup de patience : la paillette est tenace, très tenace, la bougresse !

(2 couches "Tulipe Glitter/Peggy Sage" + 1 couche "Mavadry/Mavala") - Pour faire très bien les choses, 3 couches de vernis auraient été nécessaires.

Pam Baileys

jeudi 8 décembre 2011

Collier Art-déco

J'aime l'Art-déco. Beaucoup beaucoup beaucoup ! Meubles, bijoux, décoration intérieure, mode, arts plastiques, architecture etc...

Et j'aime donc les bijoux Art-déco, beaucoup beaucoup beaucoup aussi. Mais aujourd'hui, les beaux bijoux Art-déco en bakélite n'existent plus. Sauf.... chez H&M ! Oui, ma marque suédoise préférée a eu le bon goût d'éditer ce collier "Art-déco" (en touuuute petite série très très limitée ! il n'est resté que 2 jours en magasin !). 

Alors forcément, moi qui porte pourtant très peu de colliers, ben j'ai craqué pour celui-ci.

Bon, ce n'est pas de la bakélite ni de l'or hein, à 9,90 euros faut pas se leurrer, mais il fait son (bel) effet sur la plupart de mes robes.



Pam Baileys

lundi 5 décembre 2011

Mes p'tits plaisirs BD

En cette période automnale, les auteurs de bulles sont productifs.
Tous mes auteurs préférés sortent un album .... waouh, plein de lectures en prévision !
Et j'ai déjà été gâtée à mon anniversaire ... vivement Noël ....

J'ai commencé l'hibernation bullesque avec ces 2 albums :
"Paul au Parc" de Michel Rabagliati et "Chroniques de Jérusalem" de Guy Delisle


Paul, je vous en avais déjà parlé l'année dernière : ICI
Et il revient cette année avec une histoire de petit garçon qui s'inscrit chez les scouts. Bon, comme ça, c'est pas forcément tentant, surtout pour moi qui a fait un week-end chez les scouts et bye bye, on ne m'y reprendra plus de dormir dans le froid avec 30 gamines de 10 ans.
Mais là, le scoutisme c'est juste l'histoire de fond, ce qui compte c'est le lien entre tous les personnages, l'humanité qui s'en dégage, et comme avec tous les albums de Paul, à la fin on pleure. Et on se demande si c'est une histoire vraie, mais finalement ça n'est pas le plus important.
Oh la la, je me demande si je vous ai donné envie ? mais vraiment si vous aimez la BD, les belles histoires et que vous ne connaissez pas Paul, foncez !

Quant à Guy Delisle, c'est un québecois qui fait de la BD depuis des années. Il raconte ses voyages pour le boulot dans des récits à la fois réalistes et naïfs. Il se promène et décrit ce qu'il voit, sans analyse superfétatoire, juste son ressenti, son sens de l'observation et sa finesse.
Il a raconté Pekin, Pyongyang, dans le cadre de son travail de dessinateur, et la Birmanie dans son rôle de père au foyer.


Dans "les chroniques de Jérusalem", Guy Delisle nous fait visiter Israël et les territoires palestiniens, avec son oeil d'occidental laïc, et il relève les absurdités, les difficultés, les contradictions de cette partie du monde, berceau de la civilisation et surtout de la religion, des religions.
Guy Delisle est à Jérusalem, comme il était à Rangun, dans le rôle du mari d'une travailleuse humanitaire pour MSF et du papa de deux jeunes enfants.
Il parcourt la ville et le pays, racontant des choses simples, le quotidien et c'est ce qui en fait tout le charme. Il ne prend pas partie, il observe. En refermant le livre on a envie d'en savoir plus, de prendre du temps à mieux comprendre, tout en se disant que ça dure depuis 2000 ans et qu'on sent bien que ça ne va pas s'arranger, hélàs ....

Mais au fait, il n'y a pas que Guy Delisle qui est québécois, le papa de Paul, Michel Rabagliati aussi.
L'automne, les feuilles mortes, les citrouilles, les feux de cheminée, et les québecois !

Merci le Québec, ça fait du bien cet "humanisme réaliste" ou ce "réalisme humaniste", moi ça me réchauffe le coeur.

Kate Manzana

vendredi 2 décembre 2011

La faune et la flore en milieu urbain

Aujourd'hui, petit billet "nature" ou comment apprendre des choses sur la faune et la flore en milieu parisien :

1) Il pousse des roses dans Paris ! Si si, c'est vrai (et en plus, elles fleurissent début décembre - bon ok vous me direz qu'à Paris plus rien n'étonne). La preuve en  images (il vous faut me croire sur parole mais ces roses ont été cueillies ce matin sur la terrasse de mon bureau) :



2) J'ai toujours cru que c'étaient les abeilles qui produisaient le miel, en butinant les fleurs. Que nenni, Ce sont les chats parisiens ! Mais oui mais oui, preuve en images aussi (photo réalisée sans trucage) :



Alors, c'est pas beau la vie à Paris ? Qui osera maintenant dire qu'on ne vit qu'entourés de béton ? :-)


Pam Baileys

jeudi 1 décembre 2011

J'ai pris une prune !

Les addicts du vernis le savent toutes : depuis quelques semaines, la marque Essie a débarqué dans tout bon Monoprix qui se respecte (ça ne va pas arranger mes finances, mais je promets d'être sage, je n'ai pour l'instant relevé que 4 ou 5 couleurs qui me plaisent et que je ne possède pas encore).

Bon, sur le papier dit comme ça, ça frôlait la transe, Essie et ses 250 couleurs qui débarquent en France !! Au final, il n'y a qu'une soixantaine de couleurs disponibles de ce côté-ci de la Manche, mais bon, c'est déjà bien, et plus besoin de se déplacer dans un salon Manucurist (le seul dépositaire de la marque jusqu'à présent). Notez juste que le pinceau version France est différent du pinceau US : il est plus large et plus épais. Personnellement, tant mieux, je préfère le nôtre.

Et c'est donc chez Essie que j'ai trouvé mon prune. LE prune/aubergine légèrement métallisé que je cherchais depuis des lustres. "Damsel in a dress" est tout simplement par-fait (du moins pour moi et concernant ma recherche) : un prune bien foncé tirant sur le noir, très "aubergine", et légèrement métallisé.


Ici il est pris au flash, donc il parait plus clair/rouge qu'il ne l'est en réalité.

(2 couches "Damsel in a dress"/Essie + 1 couche "Mavadry/Mavala").

Pam Baileys