jeudi 30 septembre 2010

La musique adoucit le réveil

Depuis le début de la semaine, j'ai changé de bureau, enfin plus précisément c'est mon bureau qui a déménagé. Et cela veut dire + de trajet ,+ d'embouteillages, + de risque de perdre en zénitude.
Alors j'ai cherché des stations de radio qui feraient office de maître yoga.
Jusqu'à présent je zappais entre France Inter, Radio Classique et Nova. Mais là ça ne suffit plus ...
C'est ainsi que j'ai découvert la matinale de FRANCE MUSIQUE

Et je revis, au milieu des klaxons et des pots d'échappements.
C'est calme, la musique est superbe (bon c'est pas les Stone ou Raphaël, pour ceux et celles qui préférent la variété, ils risquent l'apoplexie pastorale), et surtout Alex Taylor un chou ... enfin un muffin, un scone, un crumpet ...
Alex avec sa complice du matin, Emilie Murena

MArdi matin, dans l'interview Petit Dej, j'ai eu droit à Jeanne Balibar qui a fait du Jeanne Balibar. Bon quand on fille de philosophe et de prof de physique quantique, on ne peut pas avoir les pieds sur terre. Et ça fait du bien !
Hier matin, c'était Bernard Weber (vous savez les fourmis), plus terre à terre ... J'ai repensé à la soirée au théâtre avec Pam où nous étions allés voir Mademoiselle Adjani jouer Marie Stuart. Bernard était assis à côté de nous avec sa merveilleuse copine Frédérique B. qui a minaudé toute la soirée. Un souvenir un peu it ...

Bref, les matins de France Musique adoucissent les nerfs de Kate, et croyez moi, y en a au bureau qui s'plaigent pas !
Kate Manzana

mercredi 29 septembre 2010

Des grenats au bout des doigts

Tout le monde sait désormais que j'ai une grande passion pour le vernis à ongles. Mais la passion ne se limite pas à ça, elle porte aussi sur les vernis rouges. Tous les rouges (ou presque). Les clairs, les foncés, les bleutés, les orangés etc...

"Grenat", de Peggy Sage, est un de mes must-have. Il s'assimile un peu au fameux "Rouge noir" de Chanel, un rouge bordeaux profond, sombre, sanguin, puissant. Mais qui va finalement avec à peu près tout, surtout en automne-hiver.


("Grenat" Peggy Sage - 2 couches + 2 couches top coat "Mavadry" Mavala)

Pam Baileys

Carré blanc sur le carré noir

La semaine dernière, mon amie C m'a téléphoné pour prendre de mes nouvelles.
Voici le contenu de notre conversation :

C : Allô Pam coucou, comment vas-tu ma vieille ?
P : Bal !
C : Bal ? Tu es à un bal ? mais ma pauvre Pam tu sais que les after à 16 h c'est juste pour les crèches ?!
P : Dan, bal, de vais bal, suis très enrhubée
C : Aaaah ok t'as la crève ?
P : Aaatchaaaaoum oui, c'est pas la grande forbe
C : Ah la la bon toi il faut que tu te requinques, je vais te présenter son Excellence Lindt
P : Excellence Lindt ? C'est qui çuilà ? Connais pas, c'est un ambassadeur ?
C : Naaaaan c'est mon grand pote Lindt, un super black, il est terrible, t'y goûtes et t'es foutue, tu vas voir, tu vas l'a-do-rer !

Le lendemain, 20 heures, présentation de son Excellence Lindt :



20 h 15 : le courant passe bien entre nous apparemment : 


Après ? Ben quoi après, vous êtes vraiment des petit(e)s curieux(ses) ! Ben après on va dire que c'est limite indécent. Si vous voulez tout savoir, le mieux, c'est d'aller coucher les enfants, et je vous raconte après...

Pam Baileys

mardi 28 septembre 2010

La bouche magique

Tout d'abord j'espère que ce message sera lisible car je tente la publication via iPhone.
Et ça n'a pas l'air au point ...

Ce matin, il faisait froid et de la fumée sortait de la bouche sur le chemin de l'école. Ce qui étonna Rudolf mais cela lui donna des idées ...
« Tu as vu ? J’ai de la magie dans la bouche. Je fais de la trompette avec ma bouche, de la fumée sort et ça allume les phares et ça démarre la voiture ! »

Heureusement que la fumée ne vient pas de substances illicites ...
Kate Manzana

lundi 27 septembre 2010

Am Stram Gram

Vous en rêviez ! O.P.I. l'a fait !!

Roulement de tambours.... tremblez mesdames.... tremblez beaux ongles...... voici la nouvelle collection automne 2010 de la marque (parce que chez O.P.I, à chaque saison, une collection, ça augmente vos chances de craquages !) :


Ah ah ! ça vous fait frémir l'ongle ça hein ?! 12 jours de vernis différents ! ça va être de plus en plus dur, le matin, de choisir sa tenue en fonction de son vernis (oui oui, c'est comme ça  qu'on fait désormais !).

Une seule solution pour ne plus tergiverser devant le rayon O.P.I. et se mettre la rate au court bouillon pour savoir lequel on va acheter : les prendre tous !

"C'est pour tout de suite ou je vous l'emballe ?"

Pam Baileys

ELLE mérite l'estampille pas it

Ce week-end je lisais quietly ELLE ... et page après page je ne peux que constater que ce numéro de ELLE mérite d'avoir sa chronique dans le Pas It Blog.

Alors, en image, suivez moi pour une visite guidée du ELLE n°3378. 

Ca commence par une page sur les looks divers et variés de Miss Alexa Chung. Quoi ? vous ne connaissez pas Alexa ? Avec Pam, c'est notre baromètre du it. Alexa est anglaise, Alexa a fait de la TV, Alexa change de tenue tous les jours, Alexa aime la mode, Alexa aime les photographes. Nous avons découvert son existence cet été en feuilletant Grazia sur la plage. Et nous avons fait le constat qu'on était vraiment pas it à côté d'Alexa ...

Puis pub Clinique sur le sérum que j'utilise depuis quelques semaines : "le concentré anti tâches" ou plus chic "dark spot corrector". Bon j'peux pas encore vous dire que c'est miraculeux mais j'y crois et je prépare l'avenir (bientôt les "bip" ans, bouh !).

Je tourne les pages, et là THE article que j'attendais, la question que je me posais depuis des années, le problème fondamental à résoudre, l'attente n°1 des français, le cas existentiel par excellence :
Parce que Kate (le même prénom de moi, j'suis un peu it alors ...) est toujours en slim gris et tee-shirt mou, l'inconsciente !
Je vous livre la réponse : "parce qu'elle a besoin de repères, parce qu'elle se veut éternelle, parce qu'elle se sent toute puissante". Et surtout l'avis du psy : "elle a besoin de se retrouver dans quelque chose qui est elle-même. Son jean et ses bottes lui permettent de renouer avec son propre désir". CQFD.

Page d'après, une pub pour ma copine Madame Archibald ;-)

Et cerise sur le gâteau, page 137 le plagiat de notre blog !

Quelle visionnaire cette Pam !
2 morceaux choisis qui ne vous laissent aucune excuse pour ne pas décorer le bout de vos doigts, surtout que l'ongle court est la mode cet hiver.


Ce qui est dommage dans le ELLE de cette semaine, c'est que ça termine par une page sur une fille avec qui on a du mal avec Pam ...
Ce qui nous énerve le plus c'est que sous couvert de fille simple, c'est le snobisme par excellence.
Jugez-en par vous même : "pour le plafond de mon dressing, j'ai donné au peintre le flacon de mon vernis YSL n°29" ou encore "pour un soirée chic improvisée, je porte une robe en soie Balenciaga". Cet été elle ne pouvait pas se passer de son cabas Chanel pour aller à la plage ...

Vivement le prochain ELLE !
Kate Manzana

dimanche 26 septembre 2010

La météo selon Pam

Aujourd'hui, grand soleil au-dessus de vos têtes. Si si, levez le nez !

 

Alors, kezako ??? J'attends vos idées !

Pam Baileys

samedi 25 septembre 2010

Bilba-Ohhhh



Pour compléter ma collection de vernis rouges, j'étais à la recherche d'un rouge sombre, avec une pointe "brique", une couleur automnale, un peu "tomette". Pas facile à trouver ! C'était sans compter sur mon grand ami Mavala, qui sait toujours me faire plaisir. J'ai donc pris mon billet pour "Bilbao", et celui-ci, je sens déjà qu'il sera mon best de l'automne ! Un mini flacon ne suffira pas, il faut que j'en fasse provision !

(Mavala vernis crème "Bilbao" 2 couches (pour être tout à fait nickel il en aurait fallu une 3e) + 2 couches top coat Mavala - Mavadry).

Pam Baileys

vendredi 24 septembre 2010

Le 17ème étage

Vous avez remarqué, Pam et Kate n'ont pas de visage, des employeurs inconnus, une famille cachée, un domicile anonyme.
Mais aujourd'hui je vais vous parler (un p'tit chouia) des mes nouveaux bureaux, de façon anonyme mais illustrée.
En fait, je déménage de locaux très bientôt, enfin on est 2000 à déménager ... et je vais loger au 17e étage. C'est haut.
Il y a quelques jours, j'ai participé à une réunion dans le nouvel immeuble et j'ai vu 2 choses étonnantes.

Avant cela, la belle vue depuis mon bureau
Si vous avez besoin de connaître le trafic sur le périph, appelez moi ...
Sérieusement, c'est plutôt sympa et si je me déplace, j'ai le reste de Paris. Ah Paris !

Mais revenons à mes surprises.
Tout d'abord les toilettes. Le bâtiment est super ultra moderne et les toilettes sont alimentées avec de l'eau de pluie. Et un autocollant sur la cuvette le précise, ainsi que ...
Pour les bigleux (tous parce que la photo est petite) : "eau non potable" .... 

Il y a aussi l'architecture improbable ...
A quoi sert cette porte ?? à rien.
J'suis mauvaise langue, ils ont juste oublié un morceau de cloison. 

Sinon, c'est grand, c'est beau, c'est moderne, c'est écolo. Merci Patron !
Kate Manzana

jeudi 23 septembre 2010

Le mystère du vase bleu

Un vase bleu ça peut être joli (voir Cézanne), inquiétant (nouvelle d'Agatha Christie), mystérieux (vase égyptien), mais aussi ... kitsch ...
Il y a peu, j'étais à un déjeuner sur l'herbe entre amis, et nous avions projeté une petite tombola avec cadeaux à la clé.
Et j'ai eu droit au Vase bleu. Un petit vase de 20 cms de haut, bleu turquoise, entre verre et plastique.
Tous les goûts sont dans la nature et on ne se moque pas des amis, mais quand même j'ai la louze ! Moi qui adore les objets ultra moderne, design, épurés, je tombe sur THE kitsch vase.

Merci à cet ami inconnu (personne n'a dévoilé quel cadeau il avait fait) d'avoir alimenté ce blog.
Sans rancune ...
Kate Manzana

mercredi 22 septembre 2010

30 millions d'amis

Depuis près de 15 ans, mon amie C et moi nous perpétuons deux traditions : l'envoi, depuis notre lieu de vacances estival de "la carte postale moche" et, au retour des vacances, nous fêtons nos anniversaires, rapprochés, avec "le cadeau joli".

L'année dernière, C m'a offert ce très joli sautoir "petit oiseau dans sa cage dorée" que je porte très souvent :





Et cette année, j'ai eu le bracelet "le papillon doré", que je porte très souvent également :


On est donc tout à fait raccord une fois de plus avec Kate et sa jolie bague "Cui-Cui les petits oiseaux".

Le bucolique, c'est it ?

Pam Baileys

La drague à 4 ans

Rudolf est jeune, Rudolf sait jouer de son charme, Rudolf a une grande copine depuis l'année dernière à l'école : Carla.
Karl trouve que la maman de Carla est le sosie de Jeanne Balibar ... grande, brune, voix grave, léger strabisme, un peu dans la lune.
En tout cas Carla c'est la copine de Rudolf.
Grande (autant que Rudolf alors qu'elle a 6 mois de moins, et à cet âge ça compte), brune comme sa maman, 2 fossettes et un p'tit air coquin malicieux. Et ça Rudolf il adore !

Bref, vendredi soir, en sortant de la garderie, Rudolf se retourne vers Carla et crie dans la rue :
"Au revoir Carla ! Je t'aime très fort ! Bouille d'amour !"

Il a 4 ans ...
Kate Manzana

mardi 21 septembre 2010

Tom Ford n'est vraiment pas un it boy !

Bon,  je préfère prévenir, je décline toute responsabilité quant aux suites de ce post. Parce que je vais vous parler d'un parfum que j'aime énormément, que j'ai acheté cet hiver... et qui n'existe déjà plus !!!

La faute à qui ? à Tommy ! Qu'est pas un it boy du tout du tout. C'est pas sympa de lancer des parfums pour les retirer de la vente un an plus tard ! Je vous livre tout de même  mon article.




Velvet Gardenia 
Tom Ford
Collection Private Blend

"L'over-parfum"


Avant de s'essayer au cinéma (A Single Man) avec le plus que séduisant et dandyesque Colin Firth (que nous, les filles, on aime plus en courtisan austénien qu'en version gay 50's), Tom Ford aimait à être pris pour le nouveau libertin décandent des 90's, mi Don-Juan, mi éphèbe au poitrail parfaitement imberbe, doré, lustré.

Après avoir tenté une incursion dans la création de lunettes de soleil, Tommy - qui avait déjà mis son nez à contribution pour la (fâcheuse) réinterprétation de l'éternel et sublime "Youth Dew" d'Estée Lauder, avec sa version "Youth Dew Amber Nude" (disparu des rayons en deux temps trois mouvements), a décidé de lancer en 2009 sa propre collection de parfums, baptisée "Private Blend", qui compte désormais près d'une vingtaine de créations concoctées par différents nez.

Et parmi ces merveilles, car elles sont toutes quasiment, qu'on les aime ou pas, d'une très belle facture et composées d'excellentes matières premières, se dégage à mon nez le sulfureux, très sulfureux "Velvet Gardenia".

Comment dire ? Sulfureux, oui à l'image des publicités fordiennes, comme des hommages à Guy Bourdin. Cash, claquant, over-sexy. Mais "Velvet Gardenia" va plus loin. "Dans la luxure, alors ?" serez-vous tenté d'avancer ? Oui, presque là. Tout au bord, du moins. Dans cette création overdosée de gardenia, si surdosée qu'elle pourrait en être tout à fait incommodante, vient s'ajouter une note - assez dérangeante au demeurant et particulièrement repoussante pour les nez délicats d'Outre-Manche, peu rompus aux odeurs trop fortes - qu'on qualifie de "champignonière" dans le jargon des parfumeurs : une note de terre mouillée, végétale mais non verte, un humus, sublimée par la cire d'abeille elle aussi en abondance, qui donne au tout une étrange patine, comme si la peau avait absorbé le parfum durant des jours pour n'en restituer qu'une odeur de chair plus très propre, une chair fatiguée au petit matin et qui voudrait conserver encore un peu de cette odeur de l'amour avant de passer sous la douche.

"Velvet Gardenia" serait-il donc sale ? Non point au sens où il faudrait le savonner. Mais il a bien, oui, cette facette très "dirty" et ne se prive pas pour la revendiquer. "Velvet Gardenia" c'est finalement peu de velours, ou alors le velours de la peau : son velouté. Ou bien la lourdeur de l'étoffe fait-elle ici référence ? Ou encore son tombé parfait ? Car avant de s'auto-proclamer parfumeur, n'oublions pas que Tom Ford a d'abord tâté de l'étoffe (peut-être a-t-il tiré cette notion de "shocking" de par son passage chez Yves Saint-Laurent ?). Plus que d'étoffe, j'y vois un parfum en osmose avec la peau, à porter - et sublimer - aux soirs chauds et points de pulsion, lorsque la peau se fait moite et que la chaleur amplifie l'effluve de la fleur blanche.

De tous les "Private Blend" "Velvet Gardenia" est sûrement la création la plus sensuelle mais aussi la plus déroutante olfactivement parlant, tant les matières utilisées sont peu communes et dérangeantes.

Le jus est joliment présenté dans un gros flacon de verre fumé surmonté d'un cabochon au poids conséquent, flanqué d'une étiquette de métal doré et présenté en coffret (pour le 250 ml).

Son prix ? Extravagant, oui. Mais pouvait-il en être autrement ?

Le reste de la collection "Private Blend" est en vente exclusivement, à Paris, sur les stands Tom Ford du Bon Marché et des Galeries Lafayette (flacon 250 ml d'eau de parfum - 440 euros, et vapo 50 ml d'eau de parfum - 160 euros).

Pam Baileys

A la recherche de l'anneau d'or




Cela fait bien longtemps que je cherche CETTE bague ! Parce que quand Pam veut quelque chose, elle a une idée très précise de ce qu'elle veut, et c'est ça et rien d'autre.

Je l'ai cherchée partout, j'ai écumé un nombre de bijouteries incroyables, en vain. C'était tantôt à peu près ça, tantôt le même genre mais pas tout à fait.

Et puis, le week end dernier, lors de ma virée deauvilloise, je suis allée  le dimanche matin au marché de Trouville (qui jouxte Deauville). Je flânais dans les allées, entre marchands de légumes et marchands de faux jeans 501 à 29,90 euros (c'est ça qui m'a mis la puce à l'oreille, parce qu'à ce prix là c'était sûrement pas des 501, peut-être des 510 ?), bref, je ne cherchais rien de particulier. Quand tout à coup je tombe sur un petit stand de bagues. Et là, que vois-je ? Ô miracle, LA bague !

Un anneau plein, large, en plaqué or martelé, exactement l'anneau que je cherchais !

Et sur tapis vert, ça fait un peu Casino de Deauville. Sauf que je n'y étais pas. Je préfère les marchés.

Pam Baileys

lundi 20 septembre 2010

Mange, prie, aime.... et parfume toi !



On appelle ça faire du buzz avec du buzz. Autrement dit, profiter d'un événement (pas majeur, en l'occurence) pour en générer un autre.

Voilà, alors on sait que Julia Roberts va jouer dans le nouveau film "Eat, pray, love" (adaptation cinématographique du livre éponyme de l'américaine Elizabeth Gilbert, et un filon exploité, un !).

C'est quelque chose de tellement important apparemment que la marque américaine de cosmétiques et parfums "Fresh", un peu sur le déclin, a décidé que l'événement se devait d'être récupéré (pour se refaire sans doute une petite pub et un coup de jeune).

Donc 3 parfums sortiront en même temps que le film, dont je vous laisse deviner les noms...

Eat fleurera bon le citron italien, le basilic, la prune et  la meringue. 
Pray  le patchouli, le jasmin et l'ambre. 
Love nous réjouira les papilles avec des notes de mangue, ainsi que du tiaré, du vétiver et du santal

Avec 3 parfums différents, gageons que Pretty Woman sentira fort bon, merci Fresh !

Ma question est : Quel parfum pourrait-on créer pour "Le Gendarme à Saint-Tropez" ou encore "La Boum 2" ?

Pam Baileys

Caramels, bonbons et chocolats



On y est ! C'est l'automne ! Et qui dit automne dit tons chauds, mordorés, des fauves, des marrons, des caramels, des ors bref, toute la palette des teintes "feuilles d'automne".

J'inaugure donc la nouvelle saison avec un vernis coordonné à la robe que j'ai achetée dernièrement en compagnie de Kate. Car oui, autre addiction Pam-esque, les robes (penser à faire un article). Et comme je suis un brin tatillonne, j'aime que mes vernis soient assortis à mes robes (ou inversement). Ici, la robe est caramel mordoré, il me fallait donc un vernis caramel mordoré.

Et je l'ai trouvé chez Peggy Sage, sous le joli petit nom de "Ecureuil". Un marron-caramel très discrètement mordoré (de toutes petites particules dorées, pratiquement invisibles, qui se révèlent à la lumière). Une petite gourmandise pour mes ongles. Ma robe adore aussi !

(2 couches Peggy Sage "Ecureuil" + 2 couches top coat Mavadry - Mavala)

Pam Baileys

dimanche 19 septembre 2010

Un oiseau sur la branche

Alors que je lisais tranquillement le super blog de ma copine Madame Archibald, que vois-je ? un lien étrange vers un site : un oiseau sur la branche. Je surfe, je furète, je papillonne et je tombe sur THE bague !
La Baya de la créatrice anglaise Maapstudio, en porcelaine, mauve et blanche ... faite pour moi. Et pas très cher, une aubaine en cette période de rentrée qui n'autorise pas de grandes dépenses ...
Ni une ni deux, je commande et  2 jours plus tard je reçois un joli paquet

Je frétille à l'idée d'étrenner ma nouvelle bague, ouvrons la petite boîte rose ...
PERFECT and not to it, la classe quoi !
J'suis contente, contente ... Cui Cui Cui ... merci p'tit oiseau sur la branche.
Kate Manzana 

samedi 18 septembre 2010

Un marron glacé ?

Vous le savez déjà, Pam est la spécialiste du vernis à ongles. Elle les possède tous, enfin presque, et je cours après ... mais je suis distancée.
Malgré tout, alors que Pam craquait pour Particulière de Chanel je dénichais un p'tit Mavala "Marron glacé", qui fait son effet aussi ! et pour 4 fois moins cher ....

Le vernis pas Chanel c'est it aussi !
Kate Manzana

vendredi 17 septembre 2010

Les Anges en Enfer



Je viens de terminer l'excellent livre hybride de James Frey, célèbre et très controversé auteur américain, originaire de l'Ohio, et qui a déjà fait paraître en France "Mille Morceaux" (éd. Belfond 2004) et "Mon ami Léonard" (éd. Belfond 2006).

Hybride, car le livre tient tout à la fois du roman, car les personnages sont fictifs, de la biographie, puisqu'il s'agit d'une histoire de Los Angeles, essai sociologique, topologique, bref, "L.A. Story" est un livre étrange, déroutant, percutant, fort, drôle, triste, désespéré, impitoyable.

James Frey endosse le costume de guide touristique et, à travers sa foisonnante galerie de personnages, dont on suit l'histoire personnelle, de chapître en chapître, ou pas (certaines histoires ne font l'objet que d'un seul et court chapître, tandis que d'autres seront la trame et le fil conducteur du livre), il nous plonge dans l'histoire d'un petit village, fondé le 4 septembre 1781 par un groupe d'hommes appelés Los Pobladores, au nom interminable de Pueblo de Nuestra Senora la Reina de Los Angeles de Porciuncula, et qui deviendra, au fil du temps Los Angeles.

On croise au fil des pages un acteur célèbre et richissime, en pleine passion amoureuse et dangereuse, une jeune latino-américaine, étudiante brillante et réduite à faire des ménages, qui vivra bientôt un amour fou mais impossible, un sans-abri alcoolique ayant élu domicile dans les toilettes publiques de Venice Beach, bouleversé par l'apparition dans sa vie d'une jeune junkie à demi moribonde, des jeunes acteurs à la pelle, attirés par le rêve d'une merveilleuse carrière cinématographique et qui croupiront bien vite comme serveurs dans un fast-food glauque, un couple de jeunes gens plein d'espoir qui se battent pour survivre dans cette ville impitoyable, gigantesque, folle, dangereuse, truculente, crasseuse.

Los Angeles est un décor de carton pâte, un rêve à touristes, une vitrine ensoleillée derrière laquelle se cachent toutes les horreurs humaines, toute la misère et la solitude, toute la violence des mégapoles. Los Angeles est un piège dans lequel tombent, s'enfoncent et meurent chaque année des starlettes déchues, Los Angeles aimante et fascine, pour rejeter aussitôt dans la fange ceux qui du rêve ont cru pouvoir faire leur réalité.

"L.A. Story" est un livre émouvant, captivant, dur, mais aussi attendrissant et drôle. A l'image, peut-être, de la ville qu'il dépeint.

"L.A. Story" par James Frey, traduit de l'anglais  par Constance de Saint-Mont, éd. Flammarion 2009 - 496 pages)

Pam Baileys

jeudi 16 septembre 2010

Dévorer un bouquin ...

Ce midi, j'ai bien mangé !
Vous me direz, on s'en fiche que Kate ait bien mangé ce midi, nous aussi les saucisses lentilles de la cantine c'était bon.
Oui mais je n'ai pas mangé à la cantine, j'ai été invité par mon chef à manger là :

Et les restaus de Guy Savoy, figurez-vous que c'est bon ... La preuve en images :

En entrée, une soupe betterave, crème aux herbes et harengs

Le plat : une tourte de colvert accompagnée de ses champignons

et en dessert "autour de la fraise", pannacota, sorbet et biscuit fraise

plus un verre de Sauvignon blanc ....le tout pour 29 euros !!!! ça c'est du bon plan de Kate ou je ne m'y connais pas !

Kate Manzana

Les bouquinistes, restaurant avec Guy Savoy
53 quai des Grands Augustins
75006 PARIS
Menu du marché le midi à 29€ : entrée, plat, dessert, verre de vin


Partenaire Particulier


Ces jours-ci, ça commence à sentir l'automne. Donc j'ai opté aujourd'hui pour un vernis qui est sorti... au printemps ! "Particulière" puisque tel est son nom, a fait le buzz du printemps 2010. Qui l'avait ? Qui ne l'avait pas encore ? C'est quoi cette couleur improbable ? Mais où l'as-tu trouvé ? 

Chanel a tapé si fort avec ce gris-taupe que très vite il y a eu rupture de stock. Toutes les filles étaient soudain devenues "Particulières" jusqu'au bout des ongles.

Comme je ne suis pas du genre à me ruer sur le truc pointu du moment (et puis d'ailleurs inutile de se presser puisqu'il n'y en avait plus nulle part), j'ai attendu que le jeu se calme et j'ai acheté ce vernis à la fin de l'été, le stock était refait, pas eu besoin de courir dans tous les Séphonaud de France et de Navarre.

Voilà donc, une couleur, oui, très particulière, qui préfigurait la tendance pour le kaki de cet automne chez Chanel. Le vernis, crème, est trèèèès difficile à appliquer, il fait des paquets, des stries, 2 voire 3 couches sont nécessaires, les vernis Chanel font certes de jolies couleurs mais la qualité n'est hélas pas toujours à la hauteur ni de la marque ni, surtout, du prix. 

A noter qu'on trouve son "dupe" (prononcez "dioupe", c'est de l'anglais) chez Mavala sous la référence "Marron Glacé", qui est à mon avis plus joli (Kate pourra vous en parler, elle le possède).

Ici 3 couches "Particulière" Chanel + 2 couches top coat Mavadry Mavala.

Pam Baileys

mercredi 15 septembre 2010

Hot Stuff


Je ne sais pas ce qu'il m'arrive mais depuis un certain temps j'ai comme des envies de glitter. J'ai déjà amorcé le truc avec mon vernis bleu. Et si je continue comme ça, on va bientôt me prendre pour la  Reine du Disco !

Pour mes 40 ans, je voulais un sac à main. Un beau sac à main. De dame, forcément, mais de dame pas mémère hein, dame chic et branchée quoi ! J'avais porté mon choix sur le Kelly d'Hermès mais le jour où je suis passée l'acheter, quelle déveine, la boutique était fermée parce qu'ils faisaient la déco de la nouvelle vitrine de rentrée ! Pas de bol hein ? Bon, comme je ne suis pas du genre à me décourager pour un sac à 6 000 euros qui me passe sous le nez, j'ai pensé que jouer le décalage, ça pourrait être drôle aussi. Ni une ni deux j'ai foncé chez Tati me ruer sur ce délicieux fourre-tout, tout plastique et donc anti-pluie, à damier rose et bleu (comme ça ne va avec rien, ça va avec tout ! telle est ma devise !) : damned ! rupture de stock ! Plus un seul Tati Bag ! Il faut s'inscrire sur une liste d'attente, même Alexa Chung attend le sien !




Qu'à cela ne tienne, je me dis que je vais me tourner vers le polochon en jean Lee Cooper de mes 13 ans, le jean, c'est intemporel, indémodable, ça va avec tout, et je pourrai la jouer décalé avec une robe de soirée (euhhh vraiment très décalé alors). Le souci, c'est que le polochon en jean ça n'existe plus, mais alors plus du tout, j'ai cherché partout en vain, rien, nada ! Pas un Lee à l'horizon. Opération "revival 80's" foutue.

Dépitée, je m'apprête à rentrer chez moi bredouille lorsque je passe tout à fait par hasard devant une boutique qui se trouve à 2 pas de chez moi et dans laquelle je n'ai jamais mis les pieds. Et là que vois-je ? Un sac doré ! Tout doré tout brillant tout rutilant, une boule à facettes avec une bandoulière et 2 poignées ! Dément ! A faire pâlir d'envie Cathy Guetta (et faire pâlir Cathy, c'est une vraie gageure !) Ni une ni deux,  je ne cogite pas 3 ans, j'entre dans la boutique parce que je me dis ce genre d'achat là, ma poulette, ça marche à l'impulsion ou pas, c'est right now or never ! J'essaie le truc doré sur mon épaule, pas très rassurée quand même, je jette un oeil dehors, des fois qu'une copine passerait par là juste au moment où j'essaie le sac et qu'elle me prenne en flagrant délit de glitteritude, mais non, personne. Ouf ! Donc le cuir doré, finalement, c'est pas mal du tout. En plus, c'est un vrai sac de filles, je veux dire par là qu'à l'intérieur, il y a des petites poches partout : une petite pour le portable, avec un zip, une plus grande pour le bazar, avec un zip aussi, une autre encore plus grande pour toujours plus de bazar (mais donc, bien compartimenté, le bazar), et même une petite pochette, avec un zip encore, au dos du sac, juste de la taille de mon pass Navigo, super pratique, y'a juste à faire glisser le sac sur la borne sans sortir le pass et hop, le portillon s'ouvre ! Bref, le sac qu'il me faut quoi ! Admirez la chose :





Comme il vallait nettement moins cher que le Kelly, je n'ai pas eu trop honte à me l'offrir, et puis je me suis dit que finalement, mettre un peu de glitter dans ma vie, c'était pas non plus si blâmable que ça. Sur la photo, là, avec le flash, il fait vraiment très pailleté, mais en vrai, c'est un doré patiné, beaucoup plus discret, si si je le jure ! Donna ? oui, c'est moi !

Pam Baileys

lundi 13 septembre 2010

Vive la rose ! (et le litchi)



Pour rester dans le thème "Fête de l'Huma" initié par Kate, je vous propose une délicieuse infusion de rose et de litchi (mais je ne fais pas mug commun avec Guy Béart, je ne pousse tout de même pas la pipolisation jusque là).

Pendant que Kate marchait dans la gadoue du haras, moi, ce week-end, j'arpentais les planches de Deauville, sous un soleil de plomb presque inespéré. 

Je n'y étais pas pour le Festival du Film américain, mais en dilettante et rien que pour le plaisir de boire du cidre et manger des galettes  au beurre.  Et quand je vais à Deauville, je ne fais pas mon shopping chez Van Cleef & Arpels ou Louis Vuitton, non non non, ce serait  bien trop it ! Moi, quand je vais à Deauville, je préfère shopper au Hyper U (c'est très tendance, si si !). Et qu'est-ce qu'on y trouve au Hyper U de Deauville ?

Un rayon de tisanes comme vous n'imaginez même pas ! Un linéaire rien que pour les tisanes ! Et comme j'adore la tisane et que je suis toujours à l'affût de la dernière au goût du jour (ou du soir, en l'occurence), quelque chose qui s'éloigne de la sempiternelle verveine-menthe, et bien je suis allée fureter du côté de chez Lipton. Et là quelle fut ma découverte deauvilloise ? Et bien des petits sachets en forme de pyramide saveur rose-litchi : oh comme ça a l'air bon !

Les infusions Délicatesse de Lipton : c'est glam', c'est beau, c'est bon !

Vive Deauville, vive le Hyper U de Deauville !

Pam Baileys

dimanche 12 septembre 2010

Briser la glace

Fin de la fête de l'Huma au Haras de la Côte Ouest, nous montons dans la voiture, direction Manzana's home.
Les dos d'ânes sont nombreux, les graviers aussi et les 2 ensembles ça donne ça :

La vitre du passager arrière explose, et ce sont des milliers d'éclat de verre Securit qui tombent dans l'habitacle et surtout sur Rudolf ...
Plus de peur que de mal, personne n'est blessé, Rudolf n'a même pas bronché, lui si prompt à mettre son grain de sel d'habitude.
Prochaine étape : "Carglass répare, Carglass remplace" ... peut-être l'occasion d'un nouvel article dans le "pas it blog" ?

Kate Manzana

samedi 11 septembre 2010

C'est pas la fête de l'Huma !

Ce Week-End c'est la fête de l'Huma, un rendez-vous des it bobos et aussi des vrais cocos.
Alors pour être dignes de la "rebellitude" et du "pas-it", nous avons passé ce samedi, Karl, Rudolf et moi dans un Golf / Haras Côte Ouest de Paris. 

Nous avons commencé les festivités par quelques putts sur green. Gazon parfaitement coupé, une vraie moquette, bien vert, digne de l'Ecosse.

Puis nous avons assisté à un spectacle de folie, sono à fond : le Grand Prix du Haras avec en guests stars : "Quick Silver du Bois Pinchet", "Chanel Van't Koningshof", "Dos Cervezas Second Life", "New Dream of the Paddocks" ... de vrais bêtes de scène ! (je tiens à préciser que ce sont les vrais noms de scène des vedettes, jamais je n'aurais eu tant d'imagination et de talent ...)
Enfin, nous sommes allés saluer les stars en coulisse. La foule se pressait dans les box, admirant ses idoles, parfois nues sous la douche. Une ambiance survoltée sur fond de Marseillaise pour acclamer le meilleur."C'est la lutte finale ...", euh .... "Allons enfants ..."


Kate de la Manzana

vendredi 10 septembre 2010

Eh percule ! tu percutes ?

Rudolf a 4 ans. Rudolf a du vocabulaire. Rudolf a SON vocabulaire, SA prononciation, SES expressions.
Et parfois, elles méritent d'être partagées, comme ça, pour se détendre du monde des adultes.

Alors attention : le bon mot du jour de Rudolf !

Rudolf essaie de faire tomber un Flamby dans une coupelle. Je remarque qu'il oublie l'essentiel.
Kate : "Rudolf, si tu n'enlèves pas l'opercule, le flan en va pas tomber ... "
Rudolf : "Percule, percule ? j'connais pas de percule moi !"

Rudolf ou mini Karl

jeudi 9 septembre 2010

Acte de foi



Hier, mercredi, c'était le jour des sorties cinéma. Et je suis allée voir le nouveau film de Xavier Beauvois, qui a dû se contenter du Grand Prix du Festival de Cannes 2010.

Pas le film le plus glamour de la rentrée, j'en conviens : pas d'effets 3D, pas de cascades ni d'effets spéciaux, aucune grande blonde siliconée : ici, il n'y a que "Des Hommes et des Dieux". Une poignée d'hommes : les moines trappistes du monastère de Tibhirine, au pied de l'Atlas, que la caméra de Xavier Beauvois suit, en cette année 1996, dans leur quotidien rythmé par la prière, le potager, la récolte du miel, la prière, l'aide aux habitants de ce petit village démuni, en proie à la terreur que fait régner un groupe d'islamistes, la prière, les soins au dispensaire.  

Mais la quiétude et la paix des jours font bientôt place à la terreur, les moines deviennent la cible de groupes armés. Leur sécurité est menacée. Les autorités locales leur enjoignent de regagner la France au plus vite. L'armée leur fait comprendre qu'ils ne sont plus les bienvenus, mais les moines refusent la protection militaire.


Au coeur du monastère, chaque homme se retrouve face à ses choix, face à sa foi, face à sa vie. Rester ? Partir ? Que vaut une vie face à la foi ? Que vaut une vie que l'on a déjà remise entre les mains de Dieu ? 

Xavier Beauvois filme avec beaucoup de pudeur et de retenue les tourments de l'âme de ces hommes déchirés, apeurés. Il met en relation constante l'homme dans son identité propre et dans le principe de la communauté. C'est dans la prière que chaque moine, pour des motivations différentes, décidera, coûte que coûte, d'accomplir sa mission, et de rester à Tibhirine.


Et c'est bien la vie qu'il leur en coûtera, puisque 7 d'entre eux seront bientôt kidnappés, séquestrés, puis, finalement, exécutés.

A ce jour, les auteurs de ces assassinats ne sont toujours pas connus.

Lambert Wilson, en frère Christian, est très inspiré. Michael Lonsdale, en vieux moine médecin, asthmatique, usé, désabusé, résigné, porte son rôle à un haut degré d'émotion, à l'image de l'ensemble de ce film sensible, pudique, beau et nécessaire.

"Des Hommes et des Dieux" de Xavier Beauvois. Sortie 8 septembre 2010. Durée : 2 h.

Pam Baileys

mercredi 8 septembre 2010

Simply Red



Toute collection de vernis à ongles se doit de comporter LE rouge. Et la quête du rouge, du rouge tout simplement parfait, ni trop bleuté, ni trop orangé, c'est un peu comme le Graal. 

J'ai trouvé depuis longtemps (mais après bien des errances) celui qui pour moi atteint presque la perfection. Il s'appelle "Royan", de chez Peggy Sage, une marque de cosmétiques vieille comme le monde, spécialisée dans la manucure, et qui propose elle aussi un choix de teintes assez hallucinant ! "Royan" va avec tout. C'est simple, un coup de "Royan" sur les ongles, et vous êtes (presque) habillée ! Un rouge qui se porte comme un bijou.

Les vernis Peggy Sage, pour leur tenue, leurs couleurs et leur facitlité d'application sont parmi mes préférés. 

(2 couches "Royan" / Peggy Sage + 2 couches top coat Mavadry / Mavala).

Pam Baileys

mardi 7 septembre 2010

Tea for two

Encore une soirée sans Rudolf ! c'est jour de fête chez les Manzana !
Direction théâtre Fontaine pour une pièce de boulevard : "Thé à la menthe ou t'es citron ?"

La salle est comble et le public détendu en cette fin d'été.
Karl a les genoux dans le menton, comme toujours puisque les salles de spectacles parisiennes sont restées bloquées sur les courbes de croissance de 1887 ...
Toc toc toc, c'est parti !
Ça sera la seule photo de la pièce puisque c'est interdit et que je ne tiens pas à aller en prison ...

Mais vite, le rideau se lève et là je suis propulsée 30 ans en arrière dans "Au théâtre ce soir" ! Le majordome, le bellâtre, les portes qui claquent, les quiproquos, le voleur, les bijoux ... ne manquent que Micheline Dax et Michel Roux.
On se surprend à sourire et même à rire. Même moi, Kate Manzana, très mauvais public, n'aimant que Louis de Funes quand il s'agit de comique (je sais j'ai honte), je plisse les yeux et remonte les lèvres pour rigoler doucement (pas trop, j'ai une réputation à tenir !).
Ce qui fait la réussite de la pièce c'est sa construction : en 1ère partie, une répétition de théâtre loufoque puis en 2e partie la pièce jouée avec toutes les références aux répétitions. Le spectateur est ainsi un peu acteur / metteur en scène. Ça valorise !

En sortant, avec Karl, nous tentons de comprendre le rapport entre la pièce et le titre ?
On doit manquer de potassium car on sèche lamentablement ... alors pour se consoler, on va boire un thé à la menthe.

Kate Manzana

ps : vous aurez remarqué le rapport entre le titre de ce billet et Louis de Funes ... non ? La grande vadrouille, les bains turcs, big moustaches ... j'vous avait dit, j'ai honte ...